Gaele, la clé du succès des équipes

La motivation d'une équipe vue par un entraîneur à succès. Un pionnier du coaching : Arrigo Sacchi



Quelques idées fortes sur la motivation d'une équipe et ce qui la fait avancer :

  • L'égocentrisme et l'individualisme sont deux plaies car contraires à la philosphie du jeu en équipe.
  • L'entraîneur doit être un homme qui arrive à convaincre.
  • Je convainquais par la persuasion, non par la percussion. Ancelotti disait : "Sacchi était tellement convaincu de ce qu'il disait qu'on a fini par y croire".
  • L'intelligence c'est le plus important, avec la motivation.
  • Quand on a une grande impulsion de motivation, le corps l'accompagne et il dépasse ses limites.
  • La motivation est de première importance, c'est le carburant de la voiture et ce qui la fait avancer.
  • Implication, altruisme, générosité et volonté sont des valeurs magnifiques. Elles permettent de dépasser ses capacités et de profiter des synergies. La différence entre une sport individuel et un sport d'équipe est là.
  • On doit avancer avec les autres pour s'améliorer.

Dans l'article de "so foot", Arrigo Sacchi, l'un des meilleurs entraineurs, livre quelques clés de sa réussite et sa vision de la performance collective :

  • La différence s'est d'abord faite là : Dans le recrutement de personnes, de caractères, de personnalités en qui nous pouvions avoir confiance, sur qui l'on pouvait compter.
  • Même dans le football, tout part de la personne, de sa motivation, de sa volonté, de sa recherche de l'excellence et de l'envie de travailler.
  • Je n'arrête pas de répéter : « Le collectif est meilleur que l'individu. » L'individu peut faire gagner un match, mais les exploits se font avec une équipe.
  • Nous avons énormément travaillé.
  • Dans un orchestre, si un musicien fait un accord légèrement trop tôt ou trop tard, ou alors trop fort ou trop faible, ce n'est plus la même musique.
  • Comment définir le football total ? Onze joueurs qui jouent comme s'ils n'en étaient qu'un. C'est seulement ainsi que l'on multiplie les capacités de chacun. Celui qui est déjà bon devient extraordinaire, celui qui est extraordinaire devient un fuoriclasse, et celui qui est d'un niveau discret devient bon.
Source : "So Foot", 29 Avril 2013.            Lire la totalité de l'article


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